La mention des auteurs de cette hymne est déjà un gage de qualité ; en effet, à la profondeur et à la régularité du texte correspond une musique en parfaite adéquation. Mais comme rien n’est parfait en ce monde, on veillera à ne pas s’encoubler [ s’empêtrer ], sur deux manques d’élision (str. 4 « parole, en « ; str. 5 « chose en ») et à ne pas marquer le « e » de « proche » sur le temps fort de la strophe 5.
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