Dimanche qui chante
Solennité de Sainte Marie, Mère de Dieu
La célébration de Ste Marie, mère de Dieu, clôture l’octave de la Nativité de Jésus-Christ. Après avoir célébré l’incarnation du Christ le 25 décembre, nous célébrons sa mère huit jours plus tard, par qui Jésus se fait chair. C’est également la journée mondiale de la paix.
Rites d'ouverture
Pour la procession d'entrée, un chant s’impose pour ce premier jour de l’année, au cours duquel l’Eglise célèbre Sainte Marie, Mère de Dieu : Avec Marie, jubilons d’allégresse V 51-34 (Vn54) nous invite à rendre grâce, à chanter notre « Magnificat », pour le « oui » de Marie et sa présence auprès de son Fils à tous les instants de sa vie terrestre.
Liturgie de la Parole
Pour le psaume, la version de Yves Lafargue du psaume 66 Que Dieu nous prenne en grâce et qu’il nous bénisse ! ZL66-21, par ses successions de quarte, donne un bel élan à ce psaume qui ouvre l’année civile.
Rites de communion
Si l'on veut chanter à la procession des offrandes, en écho à la première lecture, il sera possible de chanter Vienne la paix sur notre terre T150-1. Il serait également intéressant de proposer le chant Dans un peu de houx EDIT469 (Vn41), qui énonce la Passion à venir, et, face à la haine des hommes, l’amour tout puissant de Dieu, présent dans cet enfant que berce la Vierge Marie.
Processionnal de communion : Comme le dimanche précédent, plutôt qu’un chant de communion, on laissera l’orgue jouer, et on chantera une hymne après la communion. L’enfant de la promesse F37-72 (Vn41) confie le Fils de Dieu aux bras et aux yeux de Marie.
Rites d'envoi
Antienne mariale : Plus encore ce jour que toutes les célébrations du temps de Noël, l’Alma redemptoris sera pris avant l’envoi.
Si l’on n’opte pas pour un des cantiques de Noël proposés dans les autres célébrations de ce temps liturgique, le Magnificat de Taizé U74-69 trouvera sa place à la fin de cette célébration.