Dimanche qui chante
2e dimanche de l'Avent année A
Tout être vivant verra le salut de Dieu (verset de l'évangile Lc 3,6)
Rites d’ouverture
Préparez le chemin du Seigneur (E 13-95 – Vn 1) invite l’assemblée à accueillir l’exhortation de Jean-Baptiste, les couplets étant également très en lien avec les textes d’Isaïe, propres à ce début d’Avent. On veillera à l’équilibre rythmique entre couplets (rapides) et refrain (plus hiératique avec l’alternance de noires et de blanches) et donc à ne pas bousculer les croches des couplets. A noter qu'une autre musique existe, sous la plume d'Olivier Willemin : EA48-08.
Une lumière brillera sur nous (EX 51-68 – Vn 91) fera le en lien avec les textes du ps 71, Mt 3, Is 35 et Is 7. Sa mélodie lumineuse qui s’ouvre par un bel accord renversé nous invite à aller à la rencontre de celui qui vient.
Liturgie de la Parole
La proposition du psaume 71 « En ces jours-là fleurira la justice » ZL71-24 de Philippe Robert dans Vn 101 permet une mise en œuvre avec chorale qui met en valeur l’attente de la fin des temps par une répétition murmurée sur deux notes de ces mots EX 51-68 – Vn 91) « grande paix jusqu’à la fin des temps ». La psalmodie rapide par deux solistes permet un contraste entre l’attente de la fin des temps et la certitude d’un futur bienheureux.
Liturgie eucharistique
- Pour la procession des offrandes en ce deuxième dimanche, on pourra prendre la version du psaume 84 de Henri Dumas, présentée dans Vn 16 : le petit répons à la fin de chaque verset permet à l’assemblée de s’approprier son texte.
- Au-delà des processionnaux de communion utilisés dans la paroisse en temps ordinaire, on pourra prendre Puisqu’un seul pain nous réunit (D 79-04 – livret Jubilus 2021) et ses couplets 9 à 11, qui évoquent le Règne à venir, l’attention au pauvre et la terre où Dieu vient vivre.
- En action de grâce après la communion, l’hymne Une voix parcourt la terre (EP 202-2 – Vn 116) sera plus un chant à écouter par un soliste ou par une chorale. Avec son couplet 6 principalement, mais également par l’ensemble des images bibliques présentes dans ce texte, cette hymne évoque l’orientation du temps, depuis l’aube des jours jusqu’à la fin du monde. Là, pas de petit Jésus dans la crèche, mais le Verbe fait chair, présenté comme l’Agneau.