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Dimanche qui chante

Commémoration des fidèles défunts

Commémoration des fidèles défunts

« A nous, les vivants, qu’il accorde le pardon des péchés, et, à tous les défunts, le séjour de la lumière et de la paix » (Bénédiction solennelle)

 

Le Missel l’indique (p.819) : « Lorsque le 2 novembre tombe un dimanche, on prend la messe de la Commémoration de tous les fidèles défunts ».

Rites initiaux

Selon les moyens musicaux, on pourra choisir Il a passé la mort GX14-63-3 (Vn 60), Je crois que mon sauveur est vivant SL33-5a (Vn 105) ou En toi, Seigneur mon espérance soit dans l’adaptation de la version anglaise G7-13 (Vn 47) soit celle de Willemin DEV47-81 (St Séverin).

Pour l’acte pénitentiel, on choisira de préférence Seigneur Jésus, par ton sang versé S55-49 (Vn 80) ou la Messe de la Miséricorde AL50-64.

Liturgie de la Parole

Pour le psaume 26, on peut prendre avec confiance l’une des antiennes du CNA « Le Seigneur est ma lumière est mon salut » ou choisir la version de Marionneau ZL26-41 (Vn 116).

Liturgie eucharistique

On pourra chanter Celui qui a mangé de ce pain, D140-2 (Vn 119), parfait processionnal de communion en ce jour.

Rites de conclusion           

Le Missel Romain propose une bénédiction solennelle pour la commémoration des fidèles défunts. Après celle-ci et en ce jour cher aux familles endeuillées, y compris celles qui sont loin de l’Église, il serait opportun de proposer un chant à la Vierge, par exemple Sous ton voile de tendresse VP56-48 (Vn 84) ou Sous l’abri de ta miséricorde V47-62-5 (St Séverin).

 

Laure d’Abamai, diocèse de La Rochelle