Avec ton Fils unique et le Saint Esprit, tu es un seul Dieu, 

tu es un seul Seigneur, dans la trinité des personnes et l’unité de leur nature. (Préface)

Rites d’ouverture

• Dieu qui seul est notre Père MP49-08-4 (Vn 111, Ancoli 1988) : le texte trinitaire écrit sur la mélodie du choral final de la cantate BWV 140 de Jean-Sébastien Bach ouvre à la contemplation du mystère de la Trinité en s’adressant à Dieu, Père, Fils et Esprit de sainteté. La musique ample donnera un climat particulièrement solennel dès le début de la messe, tout en élevant l’assemblée à avancer avec assurance et joie « vers la vérité tout entière » (Évangile).
• Père adorable MP28-50-4 (Vn 28) ou MP28-50-5 (Vn 118) : Il est nécessaire de chanter les quatre strophes, car chacune nourrit successivement notre foi au Père, source de vie, au Fils, Verbe de Dieu et à l’Esprit Saint, force de Dieu, la quatrième strophe conclut cette hymne par une grande doxologie trinitaire.

Pour l’ordinaire, penser à la Messe de la Trinité de Richard Quesnel C51-16 (Vn 53, livret Vivez l’espérance).

Liturgie de la Parole

Psaume 8 : Ô Seigneur, notre Dieu, qu’il est grand ton nom, par toute la terre ! ZL8-23 ou ZL8-6 (Vn 83), autre version ZL8-14 (Vn 113). 

Rites de communion

Pour chanter la doxologie de manière solennelle en développant la réponse de l’assemblée Amen ! Gloire et louange C13-18 (livret Ancolies 2011) ou C78-14 (livret Ancolies 2023).

Pendant la procession de communion En marchant vers toi Seigneur D380 (Vn 91, Cna 326) « nous restons en communion avec Dieu vivant et vrai, Père, Fils et Saint-Esprit ».   Ou après la démarche de communion, en action de grâce Trinité Sainte de Jean-Baptiste Pinault M78-17 (Vn 118). 

Paul Craipeau, diocèse de Luçon